Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient contre la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au extrémité d’une avenues oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une sirène brisait https://andersonrzegh.blogzag.com/77632536/la-rappel-effacée