À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le verve, vivait une masculinité que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait décoder le destin non dans les cartes, ni dans les lignes de la main, mais https://josuefpvxa.ambien-blog.com/40682450/la-matière-qui-satisfait