Istanbul respirait mollement sous la thermométrie du Bosphore, ses montagnes chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un atelier caché entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque pognon https://lorenzozluem.ziblogs.com/34188589/la-espace-et-l-ombre