Dans la blancheur infinie de la Sibérie en 1942, là où le calme est brisé simplement par les gémissements du vent, un soldat seul écoutait chaque soir une radio bricolée composée de câbles arrachés, de composants gelés et d’intuition désespérée. Depuis qu’il l’avait construite, l’appareil captait une voix à heure https://hectornizob.mpeblog.com/59394665/la-faille-dans-la-répertoire