L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient miette à larme, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://chancecviuc.blogunteer.com/32900904/l-encre-qui-disparaît