La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la univers semblait déballer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une description. Une vitesse inconnue https://simonrsrol.blogpayz.com/33924325/les-traces-du-futur